Extrait de la langue trilingue de Nerina Cocchi
« Mother Tongue »
Je voudrais parler du coeur. Du COURAGE !
Avoir le coeur de faire quelque chose, avere cuore di fare, di dire, di immaginare, avere cuore e osare, la ligne, elle est fine, mais elle est quand même là… Le coeur, aussi – peut-être, on parle de courage, peut-être, parce qu’il faut un battement de coeur, et donc un coeur par extension, pour pouvoir faire, pour pouvoir oser. I have my heart set on something. It’s not about goals, it’s about life force. It’s about the fact that, when that heart stops, there is no courage to be had anymore.
Finché c’è vita, c’è speranza, mais peut-être ne serait-il pas plus juste de dire, tant qu’il y a un coeur, tant qu’il y a un battement, il y a de la vie ? Et tant qu’il y a de la vie, il y a du courage ? Le courage de faire plus. Le courage de faire mieux. Le courage de faire ce qui m’anime profondément.